27 novembre 2014
"Je vois deux soldats rudoyer un officier de la marine, le sous-lieutenant Tambadou Abdoulaye"
"Je vois deux soldats rudoyer un officier de la marine, le sous-lieutenant Tambadou Abdoulaye" «Le 23 novembre, vers dix-heures la porte de la prison s’ouvre à nouveau, deux minutes coulent sans que personne n’entre. Mon intuition n’est pas pour me rassurer...